Étude de référence sur le Projet pilote de l’application mobile

12/05/2018 AECOM INTERNATIONAL
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Étude de référence sur le Projet pilote de l’application mobile

Termes de référence –  Consultant recherché pour – Étude de référence sur le Projet pilote de l’application mobile Sugu dans le cadre du Système d’information des marchés à bétail (SIMB)  

Contexte

AECOM est à la recherche d’un/e consultant/e très expérimenté dans les domaines de la chaîne de valeur agricole et la gestion des systèmes d’information de marché. Cette personne mènera, sur le terrain dans les régions de Mopti et Tombouctou, une étude de référence sur le Projet pilote de l’application mobile Sugu dans le cadre du Système d’information des marchés à bétail (SIMB). Le niveau total d’effort estimé pour cette Étude de référence sera un maximum de 48 jours.

AECOM assure la mise en œuvre du programme Élevage pour la croissance économique (Livestock For Growth – L4G) de l’Initiative Feed the Future financée par l’USAID au Mali. AECOM collabore avec l’Institut international de recherche sur le bétail (ILRI) et le programme de mise à l’échelle des technologies d’élevage intitulé Livestock Technology Scaling Program (LTSP) de l’Intiative Feed the Future, financée par l’USAID dans le but de renforcer la capacité du gouvernement du Mali (GdM) à fournir des informations utiles et efficaces sur les marchés du bétail à travers l’actuel Système d’information sur les marchés à bétail (SIMB). Dans  le cadre cette étude, le bétail est défini comme les bovins à viande, les vaches laitières et les moutons et les chèvres mâles et femelles.

Le SIMB malien existant est administré par l’Observatoire du marché agricole (OMA) du gouvernement du Mali. La mission de l’OMA consiste à recueillir, traiter et diffuser des informations sur les prix du marché et des informations statistiques, réglementaires et complémentaires sur tous les facteurs qui influencent les prix du marché sur les marchés agricoles à travers le Mali. L’exploitation par l’OMA du SIMB est essentiellement statique – les prix du marché sont communiqués, mais leur diffusion intervient trop tardivement pour que les acteurs et opérateurs du marché puissent avoir une quelconque influence sur la formation des prix en se basant sur l’offre et la demande des produits concernés. Par ailleurs, aucune tendance commerciale ou analyse des marchés est indiquée dans les rapports du SIMB. En effet, on ignore la façon que l’OMA procède pour connaître la demande d’informations sur le marché parmi les éleveurs, les emboucheurs, les commerçants et autres participants au système des marchés, et si les clients potentiels sont prêts à payer pour une analyse des marchés et la production plus rapide, idéalement en temps réels, des rapports et des analyses liés aux marchés. En l’état actuel du développement statique de l’OMA, l’observatoire n’est pas viable sur le plan financier et ne sera financièrement viable que lorsqu’il sera capable de fournir des services d’information sur les marchés qui apportent des données à valeur ajoutée aux utilisateurs ou consommateurs potentiels des informations servant à prendre de décision d’affaires selon les tendances du marché.

Sur la base de ces constats, AECOM a établi un partenariat avec ILRI pour financer conjointement le développement d’une application SIMB basée sur le téléphone portable, appelée l’application mobile « Bagan Sugu », qui a été développée pour des essais pilotes dans des zones géographiques ciblées du Mali (zones d’interventions du projet L4G et du projet LTSP)). L’entreprise VIA Consulting Group, qui travaille avec AECOM, ILRI et l’OMA, a dirigé le développement de l’application mobile Sugu, Il s’agit de concevoir une application qui soit simple, rentable et efficace dans la collecte des données et / ou des informations, et qui pourrait devenir la plateforme pour le développement progressif d’un SIMB proactif. Cependant, avant que le test pilote de l’application mobile Sugu ne soit lancé, AECOM et l’ILRI souhaitent engager les services d’un ou de plusieurs consultant(s) et /ou d’un cabinet d’étude ou appui-conseil pour réaliser une Étude de référence dans la zone géographique cible où l’application Sugu sera testée.

Objectifs et mandats de l’Étude de référence

L’objectif de l’Étude de référence est de collecter des données et / ou des informations sur la façon dont les éleveurs et / ou les producteurs et les autres participants aux marchés à bétail, comme par exemple les emboucheurs, les commerçants et les transporteurs, accèdent, collectent et agissent sur les informations du marché à bétail dans la zone où l’application mobile Sugu sera lancée. Considérant que le SIMB de l’OMA se concentre sur la collecte et la transmission de données sur les prix du marché, les informations sont recueillies selon des définitions de l’état des animaux (à savoir, « en bon état » ou « en mauvais état »), et selon un « prix maximum » et un « prix minimum » pour des races de bétail spécifiques (c’est-à-dire, des bovins, des chèvres et des moutons) dans un marché spécifique du bétail un jour donné de la semaine et du mois, l’Étude de référence devrait déterminer s’il s’agit d’une définition acceptable des « informations sur le marché » pour les utilisateurs potentiels de ces informations ou si d’autres précisions ou spécifications seraient plus utiles aux consommateurs potentiels du SIMB. Par ailleurs, l’Étude de référence doit tenter de déterminer si des informations complémentaires sur le marché sont susceptibles d’intéresser les utilisateurs ou consommateurs potentiels des informations du SIMB, notamment sans s’y limiter : le nom et le point de contact des acheteurs de bétail dans les marchés régionaux spécifiques ; les conditions de sécurité existantes le long des itinéraires empruntés pour transporter le bétail à pied ; la disponibilité et les coûts d’entretien des enclos ou des corrals sur les marchés de bétail régionaux pour la surveillance des animaux durant la nuit, et d’autres données ou informations.

L’Étude de référence sera basée sur une méthodologie d’évaluation rurale rapide parmi les propriétaires et / ou les producteurs de bétail, les emboucheurs d’animaux en milieu rural, les petits et grands négociants et les transporteurs de bétail. Le(s) consultant(s) et /ou le cabinet de conseil qui effectuera(ont) l’Étude de référence se rendra(ont) également dans les villes pour interroger les acheteurs urbains du marché de gros, les acheteurs du marché au détail, les transporteurs d’animaux vivants, les bouchers et les supermarchés et / ou les autres utilisateurs finaux au Mali, en particulier LAHAM Industries, qui a rencontré des difficultés pour trouver des sources fiables d’animaux vivants pour son abattoir. Le Chef de projet et / ou les cadres supérieurs d’AECOM partageront une copie du « Répertoire des participants au système des marchés à bétail », mis au point par le programme L4G en 2017, de sorte que le consultant ou le cabinet local en charge de l’Étude de référence soit bien informé sur la sélection des acheteurs en gros ou au détail bien établis et / ou éminents du marché du bétail pour réaliser les entretiens.

Le(s) consultant(s) et /ou le cabinet de conseil local(aux) recruté(s) pour mener l’Étude de référence préparera(ont) un projet de questionnaire, basé sur les lignes directrices ci-dessous, qui sera soumis à AECOM, l’OMA et l’ILRI pour approbation finale préalablement au démarrage de l’Étude de référence. Le questionnaire aura pour objectif d’obtenir des réponses aux questions et problèmes spécifiques suivants.

  1. Quels sont les types d’information sur le marché du bétail que vous souhaitez obtenir ou dont vous avez besoin avant de décider quand, où et à qui vendre votre bétail ? (Les réponses possibles pourraient être : des informations sur les prix d’animaux spécifiques dans des conditions spécifiques ou de poids spécifique, des informations sur les dates du marché à bétail, des informations sur la disponibilité de corrals sécurisés pour le stockage nocturne des animaux vivants, des informations sur la sécurité des marchés s’agissant des itinéraires de transport empruntés pour s’y rendre, la disponibilité d’aliments ou de fourrage et d’eau sur les marchés à bétail, la disponibilité de services de santé animale sur les marchés à bétail, etc.).
  2. Quelles sont vos sources actuelles d’informations sur le marché à bétail ? (Les réponses potentielles peuvent être : (a) des parents ou des membres de la famille plus large par téléphone , (b) le SIMB existant au Mali ; (c) une interaction en face-à-face avec les acheteurs en gros ; (d) l’Organisation des producteurs à laquelle j’appartiens ; (e) l’agent local de vulgarisation agricole / de l’élevage, (f) autres. Concernant la réponse « autres », il conviendra d’identifier la source d’information et de décrire brièvement comment les informations sont données, reçues ou partagées.
  3. Pensez-vous que les informations que vous recevez sur le marché du bétail sont fiables ? Sur une échelle de 1 à 5, sachant que 1 correspond à « pas toujours fiables » et 5 correspond à « toujours fiables », quelle note donneriez-vous à votre/vos source/s d’informations sur le marché du bétail ? Pourquoi ?
  4. Faites-vous confiance aux sources qui vous donnent des informations sur le marché du bétail ? Sur une échelle de 1 à 5, sachant que 1 correspond à « pas toujours dignes de confiance » et 5 correspond à « toujours dignes de confiance », quelle note donneriez-vous à votre/vos source/s d’informations sur le marché du bétail ? Pourquoi ?
  5. Pour les répondants qui recueillent ou recherchent des informations sur le marché du bétail auprès de plusieurs sources, il faudra déterminer : pourquoi ils s’adressent à plusieurs sources, et leur demander de classer les sources « les plus fiables » et les « moins fiables », et de justifier leur classement (selon quels critères ou expérience).
  6. Possédez-vous ou avez-vous accès à un téléphone portable ?
  7. Pouvez-vous envoyer et recevoir des messages depuis votre téléphone portable ?
  8. Pouvez-vous lire et écrire des messages texte ? Dans quelle langue communiquez-vous en général ? Parlez-vous d’autres langues pour communiquer, comme le français ?
  9. S’il existait une application mobile sur votre téléphone portable vous permettant d’envoyer et de recevoir des informations sur le marché du bétail, seriez-vous intéressé par cette application ? (Sinon, pourquoi ?)
  10. Si cette application mobile s’avérait très utile pour décider quand, où et à qui vendre votre bétail, seriez-vous prêt à souscrire à un abonnement pour ces services / informations sur le marché du bétail ? (Si « non », pourquoi ?) (Si « oui », combien seriez-vous prêt à dépenser mensuellement pour ce service d’information sur le marché du bétail ?)
  11. Avez-vous d’autres questions sur des thèmes dont nous n’avons pas parlé concernant l’accès à et l’utilisation des informations sur le marché du bétail, qui sont importantes pour vous dans votre entreprise d’élevage (familiale) ?

Sur la base des réponses recueillies pendant l’Étude de référence auprès des éleveurs et / ou des producteurs de bétail, des emboucheurs d’animaux et des acheteurs en gros et au détail et d’autres (tels que les acheteurs de LAHAM Industries) participant au système national de commercialisation du bétail, le(s) consultant(s) et / ou le cabinet de conseil local(aux) préparera(ont) un projet de rapport sur les résultats de l’Étude de référence. Ce dernier sera communiqué à AECOM, ILRI et OMA. Le projet de rapport analysera les données collectées et présentera les résultats, les conclusions et les recommandations à AECOM, l’ILRI et l’OMA sur le lancement du projet pilote de l’application mobile Sugu dans la ou les zones géographiques où l’Étude de référence sera réalisée. Le projet de rapport devra être soumis au plus tard dans les 10 jours ouvrables avant la fin du contrat.

Si, après avoir reçu et examiné le projet de rapport initial, AECOM, l’ILRI et l’OMA estiment qu’il serait utile d’organiser certains groupes de discussion pour approfondir les discussions afin d’analyser plus en détail les résultats, conclusions et recommandations préliminaires du rapport provisoire, le(s) consultant(s) et /ou le cabinet de conseil local(aux) ayant réalisé l’Étude de référence  devra(ont) convenir avec AECOM, l’ILRI et l’OMA du nombre de groupes de discussion à organiser – par exemple deux ou trois – et la composition de ces groupes. Les résultats de ces discussions plus approfondies dans les groupes de discussion seront ensuite inclus dans un rapport final révisé soumis à AECOM, l’ILRI et l’OMA.

Calendrier de l’Étude de référence

Le(s) consultant(s) et /ou le cabinet de conseil local(aux) recruté(s) pour réaliser l’Étude de référence devra(ont) respecter le calendrier suivant :

  • Semaine 1 : Le contrat portant sur la réalisation de l’Étude de référence sera signé et le(s) consultant(s) et /ou le cabinet de conseil local(aux) recevra(ont) les informations de base pertinentes d’AECOM, de l’ILRI et de l’OMA, y compris des documents et des rapports écrits sur la zone dans laquelle l’Étude de référence sera effectuée, ainsi que sur les activités de L4G et du programme LTSP financées par l’USAID. Une réunion d’information et de lancement sera organisée par L4G, LTSP et le personnel de direction de l’OMA au Mali avec le(s) consultant(s) ou le cabinet recruté(és) pour réaliser l’Étude de référence à la fin de la Semaine 1, date à laquelle le(s) consultant(s) ou le cabinet devra(ont) avoir terminé la recherche documentaire nécessaire à la conduite de l’Étude de référence  et soumis le projet de questionnaire de l’Étude de référence  (sur la base des questions illustratives, ci-dessus, dans la section B) à L4G, le programme LTSP et l’OMA pour examen.
  • Semaine 2 : AECOM, l’ILRI et l’OMA termineront leur examen du questionnaire de l’Étude de référence, et le(s) consultant(s) ou le cabinet commencera(ont) les activités d’évaluation rurale dans les zones cibles avec les éleveurs et / ou les producteurs de bétail ainsi qu’avec les emboucheurs d’animaux.
  • Semaine 3 : Le cabinet de conseil ou le(s) consultant(s) en charge de l’Étude de référence poursuit(vent) l’évaluation rurale rapide dans les zones d’influence ciblées.
  • Semaine 4 : Le cabinet de conseil ou le(s) consultant(s) en charge de l’Étude de référence complète(nt) les entretiens rapides d’évaluation rurale et commence(nt) les entretiens avec les acheteurs en gros et au détail et les autres personnes actives ou participant au système national de commercialisation du bétail, y compris ceux basés dans les villes. les zones cibles, telles que LAHAM Industry.
  • Semaine 5 : Le cabinet de conseil ou le(s) consultant(s) complète(nt) tous les entretiens de l’Étude de référence dans les zones rurales et urbaines et commence(nt) à rédiger un rapport basé sur le travail de terrain et les entretiens.
  • Semaine 6 : Le cabinet de conseil ou le(s) consultant(s) complète(nt) le Projet de rapport de l’Étude de référence avant la fin de la Semaine 6, le jeudi avant la fermeture des bureaux, et soumet(tent) le projet de rapport à AECOM, l’ILRI et l’OMA le vendredi matin. Le week-end sera réservé à la lecture du projet de rapport. AECOM, l’ILRI et l’OMA fourniront leurs commentaires et poseront des questions au cabinet ou au(x)consultant(s) qui a(ont) rédigé le projet de rapport le lundi de la Semaine 7.
  • Semaine 7 : AECOM, l’ILRI et l’OMA feront part de leurs observations et poseront des questions au cabinet ou au(x) consultant(s) qui a(ont) rédigé le projet de rapport le lundi de la semaine 7. Une réunion en personne aura lieu ce lundi après-midi pour décider s’il serait utile d’envisager d’autres questions ou thèmes au cours des discussions du groupe. Il restera suffisamment de temps pour organiser deux ou trois groupes de discussion. En outre, lors de cette réunion en personne, AECOM, l’ILRI et l’OMA devraient discuter de leurs commentaires et questions avec le cabinet ou le(s) consultant(s) dans le but d’obtenir des directives claires sur les analyses supplémentaires susceptibles d’être nécessaires avant que le rapport préliminaire ne soit validé en tant que rapport final.
  • Semaine 8 : À la fin de cette semaine, jeudi après-midi, avant la fermeture des bureaux, le rapport final sera soumis à AECOM, l’ILRI et l’OMA. Ils l’examineront une dernière fois pour s’assurer que toutes les questions et tous les problèmes ont été traités et que le rapport est prêt à être soumis à l’USAID-Mali.

Niveau d’effort total estimé : Une semaine de travail de six jours est prévue pour l’Étude de référence. Par conséquent, le niveau total d’effort estimé pour cette Étude de référence sera un maximum de 48 jours, à raison de 8 heures de travail par jour effectivement travaillé. 

Rapport final : La version provisoire et le rapport final doivent être soumis par voie électronique au format WORD, en utilisant la police Times New Roman 12, avec un seul espace avec une justification de la marge complète, tout comme ces termes de référence sont rédigés. Le projet et le rapport final seront soumis en langue française, puisqu’il s’agit de la langue nationale officielle utilisée au Mali. AECOM et l’ILRI partageront les coûts de traduction du rapport final en anglais, afin que VIA Consulting, LLC ait un accès complet aux données, aux résultats et aux conclusions contenus dans l’Étude de référence et le rapport final.

Le projet de rapport et le rapport final doivent contenir un « Résumé exécutif » ne dépassant pas trois pages présentant les conclusions principales et / ou principaux résultats de l’Étude de référence, ainsi qu’une liste de recommandations pour le déploiement pilote de l’application mobile Sugu.

Le texte principal du Rapport de l’Étude de référence doit contenir une analyse quantitative et qualitative des données recueillies par l’étude, et ne doit pas dépasser 25 pages, soit environ 2 pages de présentation et d’analyse des données pour chacune des 11 questions mentionnées ci-dessus. Si d’autres questions ou problèmes émergent au moment de l’Étude de référence  méritant un examen et une analyse plus approfondis, ils doivent être ajoutés au questionnaire et expliqués dans le Rapport de l’Étude de référence , avec la même limite de 2 pages pour chaque question et réponses reçues et / ou données recueillies. Tous les tableaux contenant les résultats de l’étude doivent figurer en annexe et ne pas faire partie du texte principal du rapport. Le rapport doit également contenir une carte d’une page indiquant dans quels villages, villes et communes les entretiens et l’analyse de l’Étude de référence ont été effectués. La page présentant la carte ne sera pas prise en compte dans le compte de pages limitant le texte principal du rapport.

REMARQUE : Toutes les études et données brutes sont la propriété d’AECOM et, au final de l’USAID, l’agence donatrice qui finance ce travail. Par conséquent, le(s) consultant(s) local(au) et / ou le cabinet de conseil doit(vent) soumettre toutes les copies originales des instruments d’enquête et tous les travaux analytiques effectués dans le cadre de l’Étude de référence dans leur format original et électronique, et toutes les données dans un tableur Excel ou équivalent : 

Qualifications de le/la Consultant/e :

  1. Diplôme universitaire en Agroéconomie, Agribusiness et Commerce, en Technologies de communication pour le développement, ou autres domaines d’études connexes aux activités mentionnées dans les TDR du présent mandat.
  2. Au moins (7) années accomplies d’expériences professionnelles dans les domaines cités.
  3. Avoir une expérience confirmée de travail en Commercialisation/mise en marché, Gestion des systèmes d’information de marchés, en Utilisation des Technologies d’Information et de Communication (TIC) pour le Développement;
  4. Avoir une solide compréhension concernant le fonctionnement, la collecte de données et l’utilisation d’informations mercuriales dans la prise de décision d’affaires (achat et vente de bétail) sur les marchés du Mali et des pays de la sous-région;
  5. Avoir de solides compétences en communication orale et écrite, de grandes compétences en rédaction des rapports techniques.
  6. Expérience avec une organisation non gouvernementale internationale
  7. Capacité avérée de travailler de manière indépendante, collecter les données, établir les faits, et tirer les conclusions valables ;
  8. Bonne Maitrise du français, l’anglais serait un atout
  9. Capacité de travailler sous pression, énergique, créatif et motive. Sens de l’organisation et de l’initiative.
  10. Professionnel, rigoureux. Honnête. Capable d’assurer une confidentialité complète, sérieux
  11. Maitrise des logiciels Word et Excel.

Comment se poser sa candidature :

Les candidats intéressés sont invités à soumettre des demandes comprenant leur CV (pas plus de 5 pages), une lettre de motivation spécifique à cette position, et aussi un échantillon d’écriture ou rapports professionnels portant sur des mandants similaires. Les dossiers doivent être soumis par Email à l’adresse suivante : recruitment@malil4g.com, au plus tard le 12 mai 2018. Les soumissions anticipées sont fortement encouragées. Toute soumission qui ne fournit pas l’ensemble des documents exigés ne sera pas considérée et sera tout simplement rejetée, comme dossier incomplet. Veuillez inclure le titre « Consultant SIMB » dans la ligne objet de votre e-mail. Pas d’appels téléphoniques, s’il vous plaît.

Les CVs doivent être formatés dans le modèle suivant, ou ils ne seront pas pris en considération.

Dans l’ordre chronologique des emplois (en commençant par le plus récent post occupé):

  • Nom de l’entreprise ou employeur
  • Votre position ou poste
  • Dates/période que vous y avez travaillé
  • Vos responsabilités
  • Vos réalisations en lien avec le présent mandat

AECOM est un employeur d’égalité des chances et ne fait aucune distinction fondée sur la race, couleur, origine nationale, âge, religion, handicap, sexe ou l’orientation sexuelle.

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