Evaluation à mi-parcours du projet COMPLAIT

28/02/2022 CAB DEMESO
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Evaluation à mi-parcours du projet COMPLAIT

Termes de référence pour l’évaluation à mi-parcours du projet COMPLAIT 

Nom du projet : Projet d’appui à la compétitivité du lait local au Mali

Pays d’intervention : Mali : (i) région de Kayes (cercles de Kayes, Kita, Diéma, Nioro et Yélimané) pour toutes les actions physiques et de gouvernance du secteur (ii) niveau national pour les actions de gouvernance globale (iii) région de Mopti (cercles de Mopti, Bankass et Bandiagara) et région de Tombouctou (cercles de Goundam, Diré et Niafunké) – pour les recherches-action “Unité Mobile Laitière” et “Fourrage Hydroponique” 

Durée du projet :1er septembre 2019 – 31 août 2022 (36 mois) 

Objectif général du projet :  Contribuer à l’amélioration de la gouvernance globale de la chaine de valeur « lait local » pour renforcer sa compétitivité par :

  1. Une meilleure redevabilité institutionnelle « vers l’avant » et « vers l’arrière » des organisations professionnelles du lait (forward / backward accountability)
  2. Une amélioration des revenus des 450 femmes et jeunes, 2000 bergers et de la sécurité alimentaire selon l’indice FIES[1] de 3’000 ménages (60% des ménages ciblés)
  3. Une réduction des impacts environnementaux des infrastructures de lait local dans la zone de couverture du projet

Objectifs spécifiques :
Objectif spécifique 1 : Les organisations du lait local satisfont aux besoins de leurs membres (offre de service ; plaidoyer pour le lait local) et le statut social et le pouvoir économique des femmes et des jeunes est amélioré
Objectif spécifique 2 : La productivité est améliorée au niveau des élevages laitiers, des centres de collecte, des mini laiteries et des points de vente de lait local avec un impact environnemental négatif minimisé
Objectif spécifique 3 : Le lait local est disponible en quantité et en qualité dans les zones d’intervention et accessible par les consommateurs (prix et proximité) 

Organisation :   Vétérinaires Sans Frontières Suisse (VSF-Suisse) – Mühlenplatz 15, Case postale 109, 3000 Berne 13 –  +41 31 332 77 67, info@vsf-suisse.org, www.vsf-suisse.org

Responsables du projet :
Christian WIRZ
Responsable Programmes Afrique de l’Ouest, VSF-Suisse, +41 31 332 77 67, christian.wirz@vsf-suisse.org

Abdoulaye DIAOURE
Directeur Mali / Représentant Afrique de l’Ouest, VSF-Suisse, +223 20 29 01 73, abdoulaye.diaoure@vsf-suisse.org

Moussa DIABATE
Directeur CAB Déméso, Coordinateur du projet PAFLAPUM, + 223 66 73 25 18, paflapum@icloud.com

Budget total du projet :
TOTAL : 2’025’000 CHF, dont :
1’000’000 CHF (LED + Medicor)
1’025’404 CHF (DDC) 

Période d’évaluation :* Du 1er septembre 2019 au 31 août 2021

INTRODUCTION

Le contexte politico-institutionnel au Mali été particulièrement instable depuis 2012 et s’est exacerbé en 2020 avec une grande grogne politico-sociale qui provoquera le coup d’Etat d’août 2020 et l’installation d’une transition politique qui continue à ce jour mais qui peine à apporter des changements significatifs aux yeux des leaders de la contestation voire de l’opinion publique nationale. Aujourd’hui encore près des 2/3 du pays échappent au contrôle de l’Etat et dans ces contrées (Centre et Nord du pays) une insécurité résiduelle semble s’être durablement installée avec la présence de groupes armés à obédience ethnique ou religieuse (voire les 2 à la fois). La présence de forces armées (nationales et étrangères) n’apporte pas encore de changements significatifs sur le plan sécuritaire dans le pays.

Néanmoins, les populations font preuve de résilience et conduisent, non sans difficultés, leurs activités économiques avec ou sans appui de partenaires techniques et financiers (dont la présence dans certaines zones n’est pas souhaitée).

Le contexte politico-social et sécuritaire est donc tendu dans la majeure partie du pays et la zone de couverture géographique du COMPLAIT n’y échappe pas. La pandémie COVID-19, avec les restrictions sanitaires y liées, ajoute son lot de difficultés objectives et cette situation d’ensemble exige des intervenants (partenaires au développement comme humanitaires) des mesures d’adaptation quasi quotidiennes pour sauvegarder une efficacité optimale des interventions en faveur des populations en général et des couches les plus fragiles/vulnérables en particulier.

Le potentiel laitier mobilisable est important dans le pays malgré la faible productivité per capita des animaux. La pratique de l’insémination artificielle (commencée à la fin des années 80) connait un essor significatif en particulier dans le périurbain des principales villes du pays (Bamako d’abord et de plus en plus Sikasso et Kayes) ainsi que certaines villes secondaires (Koutiala, Kita pour ne citer que celles-là !)

La demande en produits laitiers dans les principaux centres urbains peine à être satisfaite mais, paradoxalement, en certaines périodes de l’année, les producteurs laitiers, organisés autour de centres de collecte et transformation du lait local, peinent à écouler leur production. La compétitivité du lait local (par rapport aux produits laitiers importés) demeure d’actualité malgré une offre croissante (en quantité mais aussi en qualité).

L’intérêt de VSF-Suisse pour la chaine de valeur « lait local » et sa contribution au développement de ce secteur au Mali remonte à environ une trentaine d’années au Mali. Au projet « lait sain au Sahel » ont succédé 4 phases de PAFLAPUM et le projet COMPLAIT actuel. Ce dernier reconduit certains secteurs à consolider (y compris en en élargissant la couverture géographique : couverture de 2 cercles supplémentaires dans la région de Kayes) et s’oriente davantage sur la gouvernance globale du secteur pour le rendre plus compétitif. Toutes les interventions VSF-Suisse dans le secteur « lait local » au Mali ont été conduites dans un cadre partenarial avec l’ONG CAB-Déméso et COMPLAIT n’a pas dérogé à cette règle.

COMPLAIT couvre essentiellement la région de Kayes mais déploie des actions au niveau national pour renforcer les capacités de la faitière nationale des acteurs de la chaine de valeur en termes de gouvernance (avec accent sur la participation/inclusion des femmes et des jeunes dans les instances/organes et les processus de prise de décision) globale du secteur et de redevabilité aux différents échelons de sa structuration. La crise (de leadership) survenue en fin 2020 au sein de la FENALAIT, prouve à suffisance la pertinence de la prise en compte de la gouvernance dans les actions du COMPLAIT.

COMPLAIT rentre dans sa période de croisière et il importe de mesurer le chemin parcouru en termes de résultats atteints et de corrections éventuelles à apporter pour garder l’efficacité requise/souhaitée dans chacun des aspects/thématiques abordés. Cette disposition est d’autant plus pertinente que des partenaires financiers traditionnels de VSF-Suisse dans le domaine du « lait local » au Mali, estiment de plus en plus, que leur accompagnement de plusieurs années devrait logiquement prendre d’autres formes et embrasser d’autres secteurs que celui traditionnel de plus de 2 décennies. En d’autres termes, ils posent la pertinence de la poursuite de leur financement de ce secteur où des résultats probants ont été enregistrés et qui font, dans bien de cas, l’objet de réplication à échelle (à l’intérieur comme à l’extérieur du pays).

Environ une année avant la fin planifiée du COMPLAIT, il importe d’évaluer le chemin parcouru pour ajuster voire rectifier ou consolider certaines actions dans l’unique but d’améliorer la performance globale de l’intervention et à cet effet, les questions importantes (mais pas exhaustives !) suivantes méritent attention :

  • Quel est le niveau de capacitation réelle des acteurs de la chaine de valeur « lait local » aux différents maillons sur le triple plan (i) technique : compétences essentielles en matière de conduite de troupeau laitier (gestion/flux des animaux et des croisements y inclus insémination artificielle par apport de semences exogènes, habitat et entretien y inclus alimentation et abreuvement, etc.) et de collecte et transformation qualitative puis commercialisation du lait (ii) organisationnel : efficacité/performance du modèle organisationnel adopté, fonctionnalité et bonne gouvernance des structures laitières dédiées à l’interne mais aussi sur les plans horizontal (entre structures de même niveau) et vertical (par paliers successifs jusqu’à la faitière nationale) et institutionnel (entre les structures laitières dédiées de différents maillons de la chaine de valeur mais aussi avec des partenaires stratégiques à différents échelons) en particulier en lien avec les fonctions de représentation et de défense d’intérêts des différents niveaux de faitières ? Quelles transformations sociales pertinentes ont été induites ou sont nécessaires pour consolider les acquis/enseignements significatifs sur le plan de la gouvernance globale du secteur « lait local » y compris dans le sens d’une meilleure implication/participation des femmes et des jeunes à la prise de décision ? Quels résultats au niveau de la mise en place d’un échange entre les différents acteurs/ maillons de la filière (création d’une interprofession, alternatives) ?
  • En quoi et à quel degré, l’intervention permet (et/ou permettra potentiellement) d’améliorer les revenus des bénéficiaires directs et en particulier les petits producteurs, les bergers, les femmes et les jeunes inscrits dans le circuit de la collecte, transformation et distribution/commercialisation du lait local et de ses produits dérivés ? Cette disposition inclut l’évolution des quantités de lait produites/commercialisées et la possibilité pour le projet d’atteindre les indicateurs quantitatifs y afférents. De même, il s’agira de questionner, pour en apprécier la pertinence/efficacité de la démarche de mise en place, la stratégie d’installation de mini-laiteries nouvellement implantées (à l’exemple de Diéma)
  • Quelles mesures de réduction des effets négatifs sur l’environnement des infrastructures et équipements laitiers exploités par les acteurs ont été adoptées et pour quelle efficacité ? Quels progrès ont pu être atteints au niveau de la réduction des impacts environnementaux ? Quels facteurs ont influencé le succès ?
  • Enfin, quels sont les leviers importants d’autonomisation des acteurs et de leurs organisations respectives ainsi que d’efficacité du modèle organisationnel adopté dans un contexte de quête permanente d’amélioration de la compétitivité du lait local par rapport aux produits laitiers importés ?

In fine, il s’agira de vérifier la pertinence des hypothèses de départ de l’intervention et de conclure sur la durabilité « intrinsèque » des actions (volonté et capacité des acteurs à poursuivre les actions au-delà du projet COMPLAIT). A défaut, quelles sont les conditionnalités pour y pourvoir ?

OBJECTIFS DE L’EVALUATION

Deux objectifs sont assignés à la présente évaluation mi-parcours :

  • Premièrement et rétrospectivement, apprécier l’efficacité des actions entreprises dans la poursuite des objectifs assignés au COMPLAIT et,
  • Deuxièmement et prospectivement, formuler des recommandations à l’égard de l’équipe-projet et des porteurs du projet (VSF-Suisse et CAB Déméso), avec des mesures à même d’améliorer la performance de l’intervention (y compris en termes de consolidation des résultats).

L’évaluation est externe et devra permettre à VSF-Suisse et CAB-DEMESO, son partenaire de mise en œuvre du COMPLAIT, de bénéficier de recommandations pertinentes pour une mise en œuvre et une clôture réussie (niveau d’atteinte satisfaisant des principaux résultats aussi bien pour les acteurs que pour les bailleurs) de l’intervention. Les recommandations porteront également sur les éventuels besoins au-delà du COMPLAIT, qui seraient nécessaires à la durabilité de l’intervention (voir aussi durabilité ci-dessous).

L’évaluation externe sollicitée ne dérogera pas aux dispositions pertinentes d’une évaluation classique selon OCDE-DAC (voir figure ci-après). En addition, elle couvrira la cohérence globale de l’intervention et le montage institutionnel du projet

graphique-complait
Graphique 1: Les critères d’une évaluation selon l’approche OCDE – DAC, situés le long du cycle de gestion de projets (du planning jusqu’à l’évaluation) [source: PCMi; module “évaluation”; NADEL / ETHZ].
L’évaluation s’intéressera aux aspects suivants en abordant la durabilité du projet :

  • Financièrement, ls structures accompagnées, particulièrement les coopératives de bases, ont-elles acquis les compétences nécessaires et se sont-elles dotées de mécanismes fonctionnelles (p.ex. les dits « fonds revolving ») afin d’assurer une fonctionnalité au-delà du projet ?
  • En termes d’accompagnement des acteurs, les mécanismes mis en place par le projet – en particulier les animateurs financés par le projet – comment vont-ils évoluer après le projet, quel accompagnement est proposé aux acteurs pour l’ « après-projet » ?
  • Faisant référence au concept de la durabilité, quelles contributions le projet aura-t-il fait dans les domaines social, économique et environnemental et ces progrès sont-ils jugés durables ?

PORTEE DE L’EVALUATION

L’évaluation mi-parcours sollicitée doit inclure dans son analyse toutes les parties prenantes du projet à la mise en place du projet et couvrir toutes les thématiques prévues pour être abordées par l’intervention

METHODOLOGIE

Sur la base du modèle OCDE-DAC, les consultants-candidats proposeront leur offre technique et financière. Dans tous les cas de figure, des visites de terrain et rencontre avec les acteurs seront prévues de même qu’une revue documentaire et des échanges/séances de travail avec CAB-Déméso et VSF-Suisse.

Une présélection du ou de la consultant(e) sera effectuée sur la base des offres techniques qui devront indiquer clairement les outils et méthodes de travail, la ou les ressources humaines impliquées ainsi que leur CV mettant en exergue les expériences pratiques en matière de conduite d’évaluations similaires, un chronogramme précis des activités à conduire avec une durée prévisionnelle de chacune des principales activités.

Il est suggéré, sans que cela soit une obligation pour les candidats à la conduite de la présente évaluation, que la conception et le design de la méthodologie de l’évaluation soient développés avec comme référent les stratégies de mise en œuvre énoncées dans la proposition de projet et effectuée dans le cadre du contexte, des pratiques et des politiques en vigueur dans la chaîne de valeur du lait au Mali.

La meilleure offre technique issue du processus de présélection fera l’objet d’échanges avec VSF-Suisse et CAB-Déméso à l’effet d’amendement. Dans la suite de la validation de l’offre technique, l’offre financière préalable du ou de la consultant(e) sera, éventuellement ajustée et validée d’accord partie.

Le processus de contractualisation avec le ou la consultant(e) sera piloté par VSF-Suisse.

Dans le processus d’évaluation, le ou la consultante retenue aura accès à toute la documentation disponible sur le projet COMPLAIT.

Une restitution préliminaire des constats, conclusions et recommandations du ou de la consultant(e) sera effectuée en séance conjointe avec VSF-Suisse et CAB-Déméso pour feedback et/ou inputs/infos complémentaires. Le ou la consultante garde, par devers lui, la responsabilité d’intégrer ou pas les inputs et autres feedbacks de VSF-Suisse et CAB-Déméso.

La durée estimative de la consultation, de la signature effective du contrat par les parties au dépôt du rapport final n’excédera pas 35 jours calendaires

DOCUMENTS ET PRODUIT FINAL A SOUMETTRE

L’évaluation produira les produits suivants :

  • Un rapport provisoire qui sera envoyé à VSF-Suisse et CAB-Déméso qui feront des commentaires écrits à discuter opportunément en séance conjointe avec le ou la consultante.
  • Un rapport final de 15 pages maximum sans les annexes, rapport rédigé en français de manière claire et simple. Le rapport final doit être présenté de la manière suivante :
    • Une page de couverture avec le titre du projet, les logos de VSF-Suisse et de CAB-DEMESO, l’adresse et le nom du consultant(e) et les dates de l’évaluation
    • Une table des matières, une liste des acronymes, un résumé exécutif (1-2 pages), un rapport complet qui présent la méthodologie, les résultats de l’évaluation, les principaux enseignements et les recommandations
    • Des annexes avec les termes de référence, plan de travail, itinéraire, liste des personnes interrogées et les références.

Le rapport final d’évaluation sera distribué aux destinataires suivants :

  • VSF-Suisse : Siège, Bureau Mali
  • Bailleurs : Service Liechtensteinois de Développement (LED) ; fnd. MEDICOR, DDC-BUCO Mali
  • Eventuellement d’autres partenaires techniques et/ou financiers de VSF-Suisse/CAB-Déméso la publication sur le site web du résumé exécutif est envisagée

PROFIL SOUHAITE DU CONSULTANT (E)

Le(a) candidat(e) doit avoir un profil multidisciplinaire avec une formation d’agroéconomiste ou de socio-économiste avec des connaissances thématiques sur la santé et la production animale et la chaîne de valeur du lait.

Le(a) consultant(e) doit avoir des qualifications solides dans la réalisation d’évaluations. Il-elle doit également avoir une connaissance du contexte socioéconomique du Mali en général et des zones d’intervention du projet en particulier ainsi qu’une connaissance de l’environnement politique et administratif malien. Le(a) consultant(e) doit être indépendant des acteurs du projet évalué.

Plus spécifiquement, le consultant doit présenter :

  • Au moins cinq ans d’expérience professionnelle dans l’Afrique de l’Ouest et de préférence dans le contexte malien
  • Des capacités méthodologiques et pédagogiques (écoute ; démarches participatives en particulier focus groupes) : facilitation d’atelier multi-acteurs et/ou d’ateliers de réflexion stratégique/prospective
  • Des compétences de synthèse et d’écriture
  • Des compétences en matière de développement organisationnel/institutionnel
  • Une connaissance active et approfondie de la thématique de la chaîne de valeur du lait, des acteurs et des bénéficiaires ciblés sera considérée comme un atout
  • Une expérience démontrée dans la réalisation d’évaluations de projet et en particulier d’évaluations de projet dans la chaîne de valeur du lait ou du bétail sera considérée comme un atout
  • Des compétences techniques pour la lecture de données statistiques pour l’analyse

COORDINATION

L’évaluation est coordonnée par VSF-Suisse avec implication de CAB-Déméso en particulier pour les visites de terrain et échanges avec les acteurs.

CONDITIONS DE SOUMISSION D’OFFRE

Le(a) consultant(e) qui souhaiterait entreprendre cette évaluation est prié d’envoyer :

  • Une proposition technique (5 pages maximum) qui décrit la proposition de méthodologie : questionnaire pour les entretiens ; proposition pour les focus groupes (ou autre démarche pour les entretiens en groupe) ; un chronogramme détaillé des activités à conduire y inclus jours de voyage et de présence sur le terrain, etc.
  • Une proposition financière. Il est à noter qu’aucun perdiem n’est accordé à l’évaluateur et que les commanditaires pourraient arranger un véhicule de déplacement et l’hébergement pour les déplacements sur le terrain (région de Kayes)
  • Deux exemples d’évaluations qui ont été effectuées par l’évaluateur opportunément assorties de personnes références
  • Le CV de l’évaluateur

Le délai de soumission est le 28 février 2022.

Les dossiers sont à soumettre par voie électronique à paflapum@icloud.com (Moussa DIABATE, directeur CAB Déméso), avec copie à abdoulaye.diaoure@vsf-suisse.org (Abdoulaye DIAOURE, directeur Mali VSF-Suisse).

La sélection du dossier de candidature se fera par un comité composé par quatre personnes dont 3 de CAB Déméso et 1 de VSF-Suisse. Le siège VSF-Suisse aura à valider la sélection finale.

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